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Porno, douleur et plaisir avec l’esclave twink Casper Ellis

Traduction: triopx1

Caspar Ellis

1995 | 178 cm | 69 kg
Stockholm (Sweden)

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Salut Casper. Pour commencer, félicitation pour ta nomination aux Prowler Awards pour le “Best European Fetish Porn Star”. Tu es l’un de ces jeunes twinks, acteur de porno que j’apprécie particulièrement voir souffrir et être utilisé à l’écran. C’est parce que je sais que tu es un vrai kinkster soumis et que tu aimes et que tu as vraiment besoin de ce traitement. T’es authentique à l’écran et c’est quelque chose qui te rend spécial. Peux-tu nous dire quand tu as réalisé que tu aimais être utilisé et que le sexe vanilla ne te satisfaisait pas ?  

Hey MasterMarc. Hehe, merci d’apprécier ma souffrance. Je pense que je me souviens avoir des pensées kinky de me faire ligoter depuis que j’ai 13 ans comme ça. Quand j’avais 17 ans, j’ai commencé à parler avec un gars et on s’est organisé une rencontre. Je savais que j’allais être ligoté et que j’allais être le sien pour deux heures, mais je n’avais pas vraiment plus de détails. En arrivant il m’a bandé les yeux et je devais porter une camisole. Ensuite il a commencé par me frapper les couilles, me pincer les tétons et puis il m’a baisé. Ça s’est développé au fur et à mesure et en me branlant je pensais toujours à ce moment. Du coup je suis revenu pour plus. Encore et encore.  

C’est quelque chose que j’entends souvent, que les pensées kinky et ce genre d’actions commence très tôt dans la vie d’un kinkster. Moi-même j’ai eu mes premières expériences kinky (mis à part le sexe) à plus ou moins 8 ans. Peux-tu nous expliquer ce qui t’attires dans le fait d’être impuissant et sans défense ?  

Eh bien, expliquer ce qui t’attires ce n’est pas évident, même si c’est quelque chose que je ressens fortement, mais je pense que le contrôle joue un rôle important là-dedans. Si tu donnes tout le contrôle à une autre personne, l’anticipation de quelque chose de plaisant est démultipliée et se faire branler ou tout autre plaisir qu’on reçoit est bien plus important. La seule pensée de se dire que tu n’es qu’un objet sans pouvoir avec une pulsion sexuelle est un aspect important. C’est peut-être une réponse abstraite, mais j’imagine que je ne sais pas trop comment mieux y répondre.  

Est-ce seulement un désir sexuel ou est-ce une part de ta personnalité ?

Eh bien, ça a un rapport avec ma personnalité aussi. C’est conflictuel car ce côté c’est mon côté soumis, qui ressent du soulagement de ne pas avoir à prendre de décisions ou d’avoir de grandes responsabilités ce qui, d’une certaine manière, représente la liberté. Mais c’est en conflit avec le côté plus réaliste qui ne veut pas abandonner sa liberté et qui veut prendre ses propres décisions. Et quand je suis dans une session ou que je suis dominé, c’est un soulagement pour cette autre part de moi-même.  

C’est un conflit que pas mal de soumis ressentent je pense. Un conflit entre leurs propres désirs naturels et leurs désirs sociaux. Bien sûr, c’est une grande étape que de vivre cette vie alternative. Mais parlons un peu plus de tes désirs. Es-tu un exhibitionniste ou aimes-tu être humilié pour être esclave dans un moment aussi intime ou bien c’est une combinaison des deux qui t’ont poussé dans le porno kinky ?  

Je dirais que j’adore l’idée d’être humilié et l’idée de m’exposer à mon Maître dans ces moments. Je ne dirais pas que je suis un exhibitionniste car l’envie de faire du porno m’est plutôt venu à l’âge de 14 ans dans l’optique de tourner un film seulement plutôt que de m’exposer.   

Quelles sont les différences entre une session privée et le tournage d’un porno ?  

La différence majeure c’est l’état d’esprit je pense. Que je suis sur le plateau d’un porno, je pense à ce que je vais montrer à la caméra, ce que je vais dire. Mon mode soumission naturel est plus profond et c’est quelque chose de bien différent. Mon mode soumission t’es plus plongé dans ton jeu de rôle alors qu’avec le porno tu restes conscient de ce qui t’entoure.  

Parlons de ton état d’esprit pendant une session privée… En quoi ça change tes sentiments ? Peux-tu nous expliquer comment tu te sens quand tu es vraiment plongé dans ton mode soumission ? Quels sont tes désirs dans ces situations ?  

Dans cet état d’esprit… eh bien ça change la réalité du moment en quelque sorte. Quand je suis dans un bon état d’esprit, pour moi je dois suivre chacun de mes ordres et endurer, apprécier ou les deux, ce que mon Maître fait de moi. Les désirs ressentis sont généralement de servir le Maître mais également d’apprécier encore plus quand on te fait du plaisir.  

Aujourd’hui une nouvelle de tes scènes avec Boynapped va sortir. C’est la scène dans laquelle tu te fais fister et utiliser par Xavier Sibley, Alexis Tivoli et Sean Taylor. A quel point aimes-tu le fist et qu’est-ce qui t’excites particulièrement là-dedans ?  

Hehe, j’attends avec impatience ton feedback de cette scène ^^

Ce qui m’excite particulièrement dans le fist, et dans le plaisir anal, c’est de se faire remplir et ressentir le besoin de se faire remplir et tester les limites de ton fion. C’est aussi quelque chose d’excitant quand c’est mélangé à du bondage ou la dominance pour vraiment lâcher prise du contrôle de la situation.  

Click here to watch the full scene with CASPER ELLIS, XAVIER SIBLEY, ALEXIS TIVOLI and SEAN TAYLOR on Boynapped

Le fist est une sensation vraiment intense. En tant que passif, il faut que tu sois totalement détendu et tu dois suivre le rythme de ton corps et bien évidemment celui de l’actif. Il faisait froid sur le lieu, ça ne devait pas aider à se détendre. Comment tu as fais pour contrôler tes réactions malgré cela pour être bon devant la caméra ?  

C’est exactement ça MasterMarc. Et je confirme, en général, la chaleur est essentielle, mais en tournant un porno, il faut mettre tout cela de côté le mieux possible et donner tout ce que tu as pour te détendre un max. En général je pratique le fisting dans un environnement bien plus chaud, mais si tu repousses tes limites un peu plus que d’habitude, tu y arriveras. Quand t’as un planning à respecter, tu n’as pas envie d’attendre qu’il fasse plus chaud quand tu sais que ça ne sera pas le cas, et plus tu prends du temps, plus il fera froid. Mais ça reste une sensation de froid.

Je sais que tu as eu des journées assez chargées à Alicante. ( Cliquez ici pour en apprendre plus de notre visite sur les plateaux de Boynapped ). Les prochaines scènes que tu vas tourner me montre que tu es un peu masochiste. A quel point la douleur est importante pour toi en tant qu’esclave ?  

Hehe, eh bien la douleur peut être gratifiante parfois, surtout la sensation de picotement que tu ressens après. Et puis comme beaucoup des Maîtres que je rencontre sont sadiques je m’y habitue. Je dirais que ce n’est pas essentiel, mais ça devrait être présent d’une manière ou d’une autre.  

Quelles ont été tes premières expériences avec la douleur pendant le sexe et comment as-tu réagis ?  

La première expérience c’était sûrement une petite fessée, mais avant ça c’était sûrement le ballbusting et le nipple play que j’ai subis durant ma première session à 17 ans. Ma réaction était très négative au départ, comme pour la plupart je pense. Mais c’est quelque chose qui demande du temps pour passer du fantasme à la réalité et à faire comprendre au cerveau que c’est du plaisir.  

Quel genre de douleur apprécies-tu ? Et peux-tu nous parler des différents types de douleurs dont tu as souffert et tes sensations et réactions à celles-ci ?  

J’aime beaucoup l’électro et la douleur qui passe par les couilles ou le cul. Le genre de douleur qui dure. La douleur immédiate comme la fessée ou la flagellation, c’est plus un challenge. J’ai eu un Maître qui aimait donner de la douleur de beaucoup de manières différentes. Je dois dire que j’en suis plutôt reconnaissant car maintenant au moins j’ai touché à presque toutes les techniques et outils de douleur les plus commun dans le BDSM aha.  

Penses-tu que la douleur doit forcément être plaisante ? Ou penses-tu que les punitions que tu n’aimes pas font partis du jeu, pour apprendre et devenir un meilleur esclave ?  

Je ne suis pas vraiment masochiste dans le sens où j’apprécie la douleur en elle-même, c’est plutôt comme une récompense après avoir repoussé mes limites. Mais dans le “jeu”, bien évidemment que je pense que le Maître devrait punir son esclave pour lui faire comprendre quelque chose. Et une punition que l’esclave souhaite éviter fonctionne le mieux, donc pourquoi pas faire quelque chose que l’esclave déteste ? Et je pense aussi que la douleur et les punitions sont une part importante du jeu de rôle qui rend le tout plus authentique.  

Maintenant il faut vraiment que tu nous racontes ta meilleure expérience ! Peux-tu nous dire aussi, en quoi c’était si spécial et quels sont tes ressentis ?  

Hehe, eh bien MasterMarc, c’est une question difficile étant donné que j’ai une très mauvaise mémoire. Mais récemment j’ai eu une expérience super hot avec un Maître que je connais depuis le début de mon développement d’esclave. Une fois, j’ai été forcé à m’asseoir dans une cage avec ma tête attachée par le haut à travers une ouverture dans la cage. Avant d’entrer dans la cage, il m’a foutu un dildo de 42cm dans le cul pour que je ressente chaque mouvement une fois assis dans la cage. Une fois en position dans la cage, il m’a attaché les mains derrière mon dos et mes pieds à l’avant pour que tout le poids de mon corps repose sur le dildo. Mes gémissements ont été interrompu par un bâillon qu’il m’a mis en bouche. Il m’a ensuite bandé les yeux et mis des écouteurs dans les oreilles. Du coup, les seuls moments où je pouvais savoir que mon Maître était là ce n’était pas une caresse de ma queue, ou en pressant mes couilles ou mes tétons. C’est juste une histoire parmi tant d’autres encore.  

Je suis sûr que tu as toujours encore des fantasmes que tu voudrais réaliser ! Peux-tu nous dire, quels genres de fantasme tu as et pourquoi tu ne les as pas encore réalisés ?  

Alors oui, je pense que plus j’ai de l’expérience et plus j’ai de fantasme, mais les principaux ont déjà été réalisés. Mes fantasmes en ce moment sont beaucoup en rapport avec le fait de vouloir être un objet, être exposé et obligé à baiser et à vider les couilles. Par exemple, être ligoté avec une machine qui me baisera et qui me branlera non-stop. Un autre fantasme que j’ai c’est d’être humilié et dégradé en tant qu’esclave au point où tout ce que je bois ou mange doit d’abord rester dans mon cul aussi longtemps que ce que mon Maître décidera. Les plats seraient principalement composés de sperme de tous les lieux où mon Maître aime en récolter, et de la pisse aussi. C’est une longue liste de fantasmes mais je pense que je vais garder le reste pour moi pour le moment 😉

MasterMarc
MasterMarc
Hey, if you're cruising on KINKFINITY, you probably know I'm the master of this fetish blog. BDSM isn't just sex for me; it's a lifestyle I've embraced for over 25 years. Along the way, I've met some fantastic kinksters—some dropping by my massive 200m2 dungeon for parties, others for days or weeks, and a few as 24/7 long-term slaves. Swing by my Bluesky account for more: @mastermarc.bsky.social

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